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Chaque congrès se doit d’être un événement historique pour un mouvement
d’Éducation nouvelle comme le nôtre.
Un événement parce que ce doit être un grand espace collectif de prise d’orientations,
un temps fort pour la vie de notre mouvement.
Un événement parce qu’il rythme la vie institutionnelle de notre association, parce
qu’il est un espace essentiel dans le fonctionnement démocratique de celle-ci.
Ce onzième congrès invitera à la rencontre au travers de diverses situations et espaces temps
: conférences et tables rondes, groupes de travail, témoignages et présentations
d’expériences pédagogiques, pratiques d’activités, activités culturelles et 25e heure !!!
Ce sera un événement politique et festif pour les 800 congressistes attendus !
Des militantes et des militants, venant des toutes les associations territoriales de
métropole et d’outre-mer, engagés dans la vie de l’association et dans ses différents
champs d’intervention, porteurs du projet associatif des Ceméa. Ils sont lycéens,
étudiants, travailleurs sociaux, enseignants, chercheurs, animateurs professionnels,
éducateurs, formateurs, organisateurs d’accueils collectifs de mineurs, artistes,
médiateurs culturels, professionnels de la petite enfance, de la santé et du travail
social, salariés, chômeurs, retraités… Pour certains, ce sera leur premier congrès ; pour
la plupart, le deuxième, le troisième, et pour quelques autres le huitième ou le dixième !
Pour toutes et tous, ce sera un événement intergénérationnel dans lequel la parole et
l’écoute doivent être partagées. Ils viennent parce qu’ils pensent que leurs pratiques
référées à l’Éducation nouvelle constituent plus que jamais des réponses adaptées aux
problèmes et aux besoins actuels de la vie quotidienne des enfants et des jeunes.
Ils viennent parce qu’ils veulent contribuer à poser les bases du futur projet politique
des Ceméa pour les dix années à venir.
Comme le précise le texte préparatoire aux militants : « Ce congrès sera
politique, engagé car notre projet d’Éducation nouvelle est politique ; l’éducation est
politique. Porter au congrès l’enjeu d’une révolution éducative, vitale, engageant
une autre vision de l’organisation éducative de notre pays fait donc partie des défis
que nous devons relever. Ne plus être majoritairement en réaction, en constante
adaptation. Garder la main suppose de prendre le temps de la réflexion, de prendre
le temps de l’imagination pour poser les bases de ce que les militants veulent faire
des Ceméa de demain. »
Un projet qui devra contribuer, dans le champ de l’éducation et aux côtés du monde
du travail et de la culture à la transformation des rapports sociaux dans notre pays.
Voir les thématiques et suivez situations de ce congrès sur Le site du Congrès 2015
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