L’ailleurs, terme barbare, sera pourtant la clé du développement des structures de vacances et de loisirs collectifs. Un ailleurs qui ne se rétrécit pas au voyage, même s’il s’ouvre au voyage. Un ailleurs lointain, un ailleurs proche, un ailleurs qui peut s’approcher autant par la table qu’au travers des médias, de tous les médias, quand on a appris à s’en servir.