Le Crap Cahiers pédagogiques

Le Crap édite des publications, en particulier la revue « les Cahiers pédagogiques », et anime un site internet. Il organise des réunions publiques, des colloques, des actions de formation, des Rencontres d’été.

Dans « Les Cahiers pédagogiques » des regards sont croisés, entre récits de pratiques et approches théoriques, outils et dispositifs pour les apprentissages et comptes-rendus de recherche. La revue est une référence pour bon nombre de pédagogues.

Pour diffuser idées et actions, promouvoir et vendre leurs publications, mais aussi donner accès à des compléments aux dossiers de la revue, à des textes d’actualité, à une revue de presse, des textes d’archives et des cercles de discussion. Ce site est consulté par 10 000 visiteur·euses par jour.

Le Crap défend son autonomie de pensée et d’action à l’égard des syndicats et des partis comme de l’institution.

Il participe à des collectifs, avec divers partenaires, mouvements pédagogiques, syndicats, associations de parents, etc.

Méfiant envers les slogans, refusant dogmes et références obligées, il est ouvert à tous les débats, attentif aux marges de manœuvre pour demain comme aux utopies nouvelles pour l’avenir.

L’éducabilité de tous et toutes, tout au long de la vie ; la coopération et la solidarité dans les apprentissages comme dans la vie commune ; une égale considération pour toutes les cultures, la promotion de l’ouverture culturelle.

Les orientations et les décisions sont prises par un bureau hebdomadaire et un conseil d’administration. Une assemblée générale réunit les adhérent·es une fois par an. Un réseau de correspondant·es académiques anime les activités locales du CRAP-Cahiers pédagogiques.

Le CRAP-Cahiers pédagogiques, c’est aussi une structure de six salariés qui assure l’édition des publications, la gestion des abonnements et des commandes au numéro, le fonctionnement quotidien de l’association ; parmi eux, deux enseignants en détachement. C'est encore réagir et résister aux décisions politiques lorsqu’elles mettent en cause le service public d’éducation, aux simplismes médiatiques, aux conservatismes en tout genre, aux nostalgies d’un passé idéalisé. C'est proposer en étant un laboratoire d’idées pour suivre et accompagner les expérimentations et innovations pédagogiques, pour débattre des perspectives à long terme. ce sont enfin des pratiques au quotidien pour développer des compétences, pour former des citoyen·nes actif·ves, c'est évaluer autrement, au service des apprentissages, c'est transmettre les valeurs démocratiques et assurer le rôle de passeurs culturels.